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immigration afro musulmane de masse - Page 7

  • Avec 1,5 milliards d’euros, le gouvernement augmente encore et massivement le budget pour l’implantation des migrants clandestins en France !

     

    Le gouvernement français va encore  significativement augmenter le budget dédié à l’implantation de migrants clandestins en France.

    Alors que la pression fiscale s’accroît sur la classe moyenne, plus de 1,5 milliards d’euros seront consacrés à l’accueil des migrants afro-musulmans. Soit l’équivalent le budget annuel du Conseil Régional de Bretagne.

    Valeurs Actuelles (source) :

    Le gouvernement veut mettre le paquet pour les réfugiés. Alors que des économies sont exigées dans tous les ministères et qu’Emmanuel Macron demande aux Français de « faire des efforts », Le Monde a consulté un ensemble de documents indiquant que le budget consacré à la mission « immigration, asile et intégration » va exploser. Chiffré à 1,58 milliard d’euros en 2019, il va augmenter de 200 millions par rapport à 2018, soit une hausse de 14 %.
    L’État prévoit notamment d’augmenter l’offre d’hébergement pour les réfugiés. Il se fixe pour objectif de donner un toit à 86 % des demandeurs d’asile à l’horizon 2020, contre 50 % seulement en 2018 assure Le Monde. Pour cela, le nombre de places dans le parc de logements devra s’élever à « plus de 97 000 en 2019 ». Diverses mesures sont prévues pour atteindre cet objectif, comme la création de 1 000 places en centres d’accueil pour demandeurs d’asile, 3 500 en hébergement d’urgence, accélérer les transferts de places déjà existantes…, conclut le quotidien.

    A ce 1,5 milliard d’euros s’ajoutent les plus de 900 millions d’euros de l’Aide Médicale d’Etat, couverture santé universelle gratuite offerte aux clandestins .

    Utiliser l’argent des contribuables pour planifier le remplacement de population au profit des migrants afro-musulmans, telle est la priorité budgétaire de Macron et de ses supplétifs !

     

  • Orban et Poutine s’entendent pour la défense de la civilisation chrétienne et des chrétiens dans le monde .

     

     

    Le Premier ministre hongrois et le président Poutine se sont rencontrés en Russie le mardi 18 septembre 2018 pour renforcer leurs accords sur les projets d’énergie nucléaire qu’ils ont en commun. Ils en ont profité, au cours d’un point de presse, pour rappeler leurs désirs réciproques d’intensifier leur rapprochement, non seulement par des contrats énergétiques mais aussi par des échanges commerciaux et culturels.

    « Nous attachons une grande importance à la préservation et au renforcement de la culture chrétienne »

    Toujours préoccupé par la pérennité de la civilisation chrétienne aujourd’hui lourdement remise en cause par les institutions européennes et par l’invasion migratoire en provenance des pays musulmans, -elle aussi voulue par les autorités de Bruxelles-, Viktor Orban  a tenu à rappeler en présence de la presse internationale, l’unité de point-de-vue entre la Russie et la Hongrie sur la défense de la civilisation chrétienne et des chrétiens en général:

    La Hongrie a des intérêts multiples. Nous avons tiré des leçons de l’histoire au cours des 100 dernières années. Quand il y avait des tensions entre l’Europe occidentale et orientale, les choses étaient toujours mauvaises pour les Hongrois. Et quand l’Ouest et l’Est ont coopéré, les choses ont été bonnes pour la Hongrie. La Hongrie s’intéresse donc à la meilleure coopération possible entre ces deux parties du monde.

    Le président [Poutine] a évoqué les principales questions dont nous avons discuté lors des négociations de ce jour, mais je voudrais ajouter qu’il existe un domaine particulier de notre coopération: nos deux pays appartiennent à la civilisation chrétienne. Nous attachons une grande importance à la préservation et au renforcement de la culture chrétienne dans le monde moderne et, à cette fin, nous faisons ce que nous pouvons; nous essayons de soutenir les chrétiens en danger. Au nom de la Hongrie, je peux dire que les Hongrois ont toujours apprécié les réalisations culturelles des autres pays. Nous sommes certainement fiers de nos propres réalisations, mais la Russie jouit d’un énorme prestige dans notre pays à cet égard. Source: Kremlin

    « l’immigration est encouragée avec des prestations élevées »

    Immédiatement après un journaliste hongrois a interrogé Vladimir Poutine sur l’immigration, un problème qui préoccupe tout particulièrement les Hongrois et leur Premier ministre qui s’est fait mettre en minorité sur ce sujet par le Parlement de Strasbourg, dernièrement, qui réclame des sanctions à l’encontre de son pays:

    Question: J’aimerais demander au président Poutine: que pensez-vous de la crise de l’immigration en Europe? Pensez-vous que le nombre d’immigrants restera le même ou continuera de croître? Je vous remercie.

    Vladimir Poutine: Vous savez, ce n’est pas facile pour moi de commenter des questions qui ne nous concernent pas directement. Nous avons nos propres problèmes, nos propres problèmes concernant les étrangers en Fédération de Russie. Dans une certaine mesure, cette question n’est pas plus facile pour nous que pour l’Union européenne, mais nous n’avons pas de frontières avec les pays d’origine des immigrants. Cependant nos problèmes ont leurs propres défis, même si, en règle générale, ce sont des personnes originaires des anciennes républiques soviétiques – ce qui signifie que souvent, ils parlent le russe, ils comprennent les bases de notre culture et s’adaptent plus facilement à la Russie. Mais ce n’est toujours pas un processus simple et il y a des problèmes, y compris sur le marché du travail.

    En ce qui concerne l’Union européenne, la situation est plus compliquée à cet égard, je pense. Des personnes ayant des traditions culturelles complètement différentes arrivent dans les pays européens. L’adaptation est un processus très difficile. Ce sont des problèmes qui doivent être résolus au sein de l’Union européenne, pas en Russie.

    Compte tenu des circonstances actuelles, il est peu probable que l’afflux d’immigrants diminue. Premièrement, il y avait des immigrants de Syrie, d’Irak et d’autres pays du Moyen-Orient. Maintenant, il y a aussi des nouveaux venus de l’Afrique noire. Ce nombre ne cesse de croître, la situation ne change que géographiquement et le flux entrant augmente à nouveau.

    Dans l’ensemble, il est clair que l’immigration en Europe est potentiellement massive et qu’il s’agit de politique. Si l’immigration est encouragée avec des prestations élevées et d’autres formes d’aide, pourquoi l’afflux d’eau s’arrêterait-il? Je ne comprends pas très bien cela. Mais, encore une fois, nos collègues européens doivent décider eux-mêmes de ce qui est meilleur pour l’UE et son développement. Voilà! Source: Kremlin

    La Russie, « une alternative au mondialisme »

    Viktor Orban a été l’un des plus virulents opposants au communisme et aux autorités soviétiques de son pays du temps de l’URSS,  et l’un des plus fervents promoteurs de l’indépendance de la Hongrie. Mais il n’a pas oublié non plus les trois siècles de domination musulmane turque qu’a subi la Hongrie ! ...

    Cette rencontre entre Poutine et Orban était la septième depuis 2014. Une relation qui arrange les deux chefs d’État, tous les deux maltraités par  l’Union européenne. Après le vote sanction du Parlement européen contre la politique hongroise de la semaine dernière, la rencontre de mardi tombait à point nommé pour Viktor Orban bien décidé à montrer qu’il ne manque pas d’un puissant allié sur son flanc est et qui partage son point-de-vue concernant l’identité chrétienne. Au moment où l’Italie avec Matteo Salvini (Liga), l’Autriche avec Hainz-Christian Strache (ÖVP) ou la France avec Marine Le Pen (Rassemblement National) réclament la levée des sanctions contre la Russie, les deux chefs d’État ont tous les motifs de s’épauler mutuellement.

    « Aujourd’hui, de très nombreuses forces politiques en Europe se tournent vers la Russie, cherchant en elle une sorte d’alternative à cette idéologie mondialiste, non seulement la Hongrie, mais aussi une partie de la société française, en Allemagne, en Italie souligne Andreï Sidorov de l’Université de Moscou. Mais la Hongrie a été constante dans la poursuite de sa politique de défense de ses intérêts nationaux. Pour la Russie, c’est très important, car nous défendons aussi nos intérêts nationaux« . Source: Euronews

    La Russie a tissé des liens économiques forts avec la Hongrie en lui accordant un prêt de 10 milliards d’euros pour la construction de la centrale nucléaire Paks 2 qui fait débat et ne plait pas du tout à la commission de Bruxelles.

    La question ukrainienne est un autre point qui rassemble Moscou et Budapest, car la Hongrie à l’identité forte et enracinée dans l’Histoire est à l’opposé des aspirations euro-atlantiques et mondialistes de Kiev, et les relations entre l’Ukraine et le pays magyar ne sont pas des meilleures, Kiev ayant limité la langue hongroise dans les écoles. Or, cela devrait affecter 16 000 enfants en Transcarpatie ukrainienne où vit une diaspora de 100 000 magyars.

     

  • L’Union Européenne décide de « sanctionner » la Hongrie car elle refuse de « devenir un pays de migrants » ! ...

     

     
     

     Le Parlement européen a voté pour demander à l’Union européenne de lancer l’article 7, procédure radicale permettant à Bruxelles de sanctionner la Hongrie, qu’elle accuse de mettre à mal les «valeurs» de l’Union européenne...

    Par 448 voix pour, 197 contre et 48 abstentions, le Parlement européen de Strasbourg a adopté une motion inédite le 12 septembre permettant de déclencher l’article 7 contre la Hongrie. Cette procédure radicale permet à Bruxelles de sanctionner le gouvernement de Viktor Orban en raison d’«une violation grave et persistante par un Etat membre des valeurs [européennes]».

    Le vote du 12 septembre a eu lieu sur proposition d’un rapport présenté plus tôt par l’eurodéputée néerlandaise Judith Sargentini (Gauche verte). Parmi les 12 points reprochés à Budapest dans le document, on retrouve le «fonctionnement du système constitutionnel et électoral», l’état des «droits économiques et sociaux» ou encore l’état des «droits fondamentaux des migrants» dans le pays.

    Invité à plaider sa cause devant les eurodéputés la veille à Strasbourg le 11 septembre, le Premier ministre hongrois avait jugé que ledit rapport «bafou[ait] l’honneur de la Hongrie et du peuple hongrois», insistant par ailleurs sur le pouvoir souverain de ce dernier : «Les décisions hongroises sont prises par les électeurs.»

    En outre, le dirigeant hongrois a estimé que sa nation était sur le point d’être condamnée parce que «le peuple hongrois a[vait] décidé que [la Hongrie] ne deviendrait pas un pays de migrants». Le Premier ministre nationaliste a régulièrement fait part du refus de son gouvernement d’accepter les quotas de répartition de migrants imposés par Bruxelles.

    C’est la première fois que le Parlement européen use de son droit d’initiative pour demander au Conseil (les Etats membres) de se prononcer sur la situation de l’Etat de droit d’un pays membre. En décembre 2017, la Commission européenne avait néanmoins lancé la même procédure à l’encontre de la Pologne.

    Le vote de ce 12 septembre signifie concrètement que les autres Etats européens doivent désormais décider de mesures contre la Hongrie, la plus sévère étant de retirer à Budapest ses droits de vote au sein de l’Union européenne. Ce scénario semble toutefois peu probable, certains alliés de Viktor Orban, comme la Pologne, pouvant bloquer ces actions extrêmes qui requièrent l’unanimité.

    (Source : Russia Today)